Publié par Géram

Il n'est pas une fibre en tout mon corps tremblant
Qui ne crie : Ô mon cher Belzébuth, je t'adore !

"Le possédé", Les Fleurs du mal, Baudelaire

Iblis

Ils vendent leurs âmes pour acheter c'que tu as
Tu vends le bonheur, mais tu incarnes le mal
Ils oublient qu'après la mort tout s'arrêtera 
Et ta punition leur sera infernale !

Ô roi des Enfers, père des mensonges 
Dans la terreur et la peur, tu les plonges 
Aussi laide que belle soit ton étrangeté
Dans la nuit noire tu es voué à errer 

Tag(s) : #fleurs du mal
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