Publié par Océane
Où tout n'est qu'or, acier, lumière et diamants,
Resplendit à jamais, comme un astre inutile,
La froide majesté de la femme stérile.
Quand je la vois, elle m'éblouit
Avec ces milliers de bijoux qui brillent
Qu'elle contamine mes nuits
Je demanderais même l'exil !
Comme si, en elle, se cachait le dragon
Vêtue de sa robe rouge, comme la portent les démons
Je ne sais que penser
Elle me semble être le mal incarné
Avoir le courage de partir
De quitter cette beauté des îles
Alors qu'elle me procure du désir
La déesse à qui je suis accrochée, au bout du fil