Publié par Ali-Amine
Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis , tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée , ô toi que le savais !
Sur ces situations banales, je ne cesse d'imaginer
Ô mon esprit sans limite, à l'air d'infini
La normalité de cette action, je ne cesse de la développer
Comme si chacune de mes actions prenait vie
Une illusion psychologique :
De ma folie naissent Grandes Images Féériques
Que je désire souvent anticiper
Mais en vain, je suis rattrapé par la réalité
Et cette jeune femme
Avec qui j'aurais pu me marier ;
Ou cette douce nuit
Où j'aurais vogué sur une mer étoilée
Que de réalités j'ai beau imaginer
Que de créations mentales j'ai scénarisées !
Que de mystérieux voiles j'ai voulu déchirer
Mais me voilà face à la sèche réalité !