Publié par Nolan P.
Dernier Soupir
Ce mercredi 15 mars noir, son heure a sonné
Congelée par la froideur d’une triste mort
Son corps raide vêtu de vêtements glacés
Couchée, elle dort dans un misérable décor
Elle se repose mais on en parle au passé
Demain elle réapparaîtra, à l’aurore
Je ne pourrai point arrêter de penser
À sa marche éternelle dans les corridors
Je repense à sa vie dans cette société
Remplie de douleurs importunes et de remords
Faisant seule face à sa triste destinée
Tu as fait de ta vie une chic métaphore
Tu as passé ton arme à gauche sans volonté
Pour toi grand-mère, ces bouts rimés qui valent de l’or