Publié par Maya
Le marchand de sable
La mer froide prête à se déchaîner
Est la plupart du temps la mal-aimée
Dans la pénombre de la douce nuit
Où disparaissent enfin tous mes ennuis
Ton voile noir, sombre et mystérieux,
Recouvre l'étendue de sable fin
Ce moment me rend paisible et joyeux
Là-bas, je suis totalement serein
Je me blottis dans les bras de Morphée
Mes yeux se ferment avec facilité
Mon esprit s'évade loin dans les songes
Je ne m'arrête pas je cours, je plonge !
Quand, soudain, la douce brise marine
Caresse ma silhouette endormie
À l'horizon le grand roi se dessine
L'aurore arrive, la nuit est finie.