Publié par Quentin
À l'aube, ce parc semble étrangement désert,
Recouvert d'une brume pleine de mystères,
Personne n'ose s'aventurer le matin
À part quelques téméraires un peu plus malins.
Dix heures, il se réveille petit à petit,
Quelques personnes profitent de leur temps libre
Pour parcourir les sept hectomètres à l'air libre,
Mais peu de bruit, l'école retient les petits.
Tout l’après-midi, jouets et balançoires dansent,
Les plus grands jouent souvent au foot sur leur terrain
Et les grands pères à la pétanque entre copains.
Aux crépuscules, les personnes sont rentrées
À part certaines dans la forêt, encore à jouer ;
Le parc s'endort, c'est la fin de la journée.