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Publié par Julien et Sofiane THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PROLOGUE
Lire la suitePublié par Julien et Sofiane THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PROLOGUE
Lire la suitePublié par Manon, Gaëtane, Lou-Ann THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 2
Lire la suitePublié par Anthony E.N. THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – INTERMÈDE, SCÈNE 6 ,
Lire la suitePublié par Anthony Voyons, êtes-vous le genre de la maison ? Venez-vous pour Un œil de verre, des fausses dents, des béquilles, Un corset, un crochet, Une poitrine ou un entre-jambe en latex, Des points de suture bien visibles ? Non, non ? Alors En quoi...
Lire la suitePublié par Maya et Yüna THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 1
Lire la suitePublié par Ambre, Sacha A.-J. THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE II, SCÈNE 2
Lire la suitePublié par Froyda, Lily, Mayline THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 9
Lire la suitePublié par Stevann, Tyron THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE II, SCÈNE 1
Lire la suitePublié par Ethan et Louka THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 6
Lire la suitePublié par Ilian et James THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 11
Lire la suitePublié par Lou-Ann v.1 On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans v.11 Piqué d’une mauvaise étoile, qui se fond v.13 Nuit de juin ! Dix-sept ans ! - On se laisse griser. v.19 Passe une demoiselle aux petits airs charmants, v.25 Vous êtes amoureux....
Lire la suitePublié par Maëva, Manon, Cécile THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – INTERMEDE, SCÈNE 4
Lire la suitePublié par Zoé M., Eloann, Lizenn THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 4
Lire la suitePublié par Ewen & Ozvane THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE II, SCÈNE 2
Lire la suitePublié par Eloan juste être femme me nommer femme me rend totalement complète pleine et entière. ne me dites pas que mes femmes ne sont pas aussi belles que celles de votre pays. désormais je dirai des choses comme vous êtes résilientes ou vous êtes extraordinaire...
Lire la suitePublié par Lizenn L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir : il faut alors la tenir au creux d'un torchon,...
Lire la suitePublié par Anaël L'arbre noir magnifique givré toutes ses feuilles envolées pourries depuis le temps qu'il reste là poteau dans la nuit d'hiver longue où je m'appuie me plante aussi Il vibre d'hier à aujourd'hui il vibrera - Aussi longtemps que je vivra...
Lire la suitePublié par Quentin Tout l’automne à la fin n'est plus qu’une tisane froide. Les feuilles mortes de toutes essences macèrent dans la pluie. Pas de fermentation, de création d'alcool ; il faut attendre jusqu'au printemps l’effet d’une application de compresses...
Lire la suitePublié par Zoé M. tu n’étais peut-être pas mon premier amour mais tu étais l’amour qui a rendu toutes les autres amours insignifiantes Rupi Kaur, Lait et miel (2014) Jasmine et Aladin représentent le premier amour © Zoé M. Premier Amour Dans la douceur...
Lire la suitePublié par Violette Rue des Tournelles. J'admire la Boucherie du Génie. D'un peu plus loin montent par rafales comme des accents de tango. Et à mesure que j'avance au milieu de la chaussée déserte, en effet ce vieux rythme opiniâtre et la mélodie se font...
Lire la suitePublié par Maya je ne sais pas ce que c'est que de vivre une vie équilibrée quand je suis triste je ne pleure pas je coule à flots [...] l'avantage de ressentir les extrêmes c'est que quand j'aime je leur donne des ailes mais ce n'est peut-être pas une...
Lire la suitePublié par Sacha A.-J. La pluie, dans la cour où je la regarde tomber, descend à des allures très diverses. Au centre c'est un fin rideau (ou réseau) discontinu, une chute implacable mais relativement lente de gouttes probablement assez légères, une précipitation...
Lire la suitePublié par Ambre elle était une rose entre les mains de ceux qui n'avaient pas l'intention de la garder (page 20) tu murmures je t'aime ce que tu veux dire est je ne veux pas que tu partes (page 96) je suis un musée rempli d’œuvres d'art mais tu avais...
Lire la suitePublié par Gaëtane Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue ! Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais...
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