Des élèves témoignent de l'intérêt de leurs publications sur fictif :

 

     1▶ La méthode

« C’est pratique, fictif, pour écrire : je vais voir ce qu’ont fait les autres. Ça m’aide à mieux comprendre les sujets. Et là, je vois bien ce que je pourrais écrire. » (Gravidi)

 

     2▶ L’attrait de la forme

« Ce que j’aimais au début, c’était de finir l’article avec une belle photo. Ça met vraiment l’écrit en valeur. Maintenant, je commence toujours par ça ! » (Emma)

 

     3▶ L’exigence vis-à-vis de soi, pour les lecteurs

« Quand je publie, je sais que ça va être vu par d’autres élèves, même si je ne sais pas qui. Alors je veux que ce soit intéressant et bien fait. C’est vrai que je fais un effort particulier. J’ai envie que mon article soit lu. » (Agathe)

 

     4▶ L’effet d’entraînement : de l’individuel au collectif

« Parfois on écrit seul, parfois on écrit en groupes. Mais, même quand on écrit seul, on voit les écrits des autres, de tout le monde, de tous les élèves, sur le blog. C’est comme une série – mais pas sur Netflix, sur fictif ! – : il y a plein de nouveaux épisodes. » (Karine)

 

     5▶ La prise de recul

« Quand je vois mes écrits sur fictif, je trouve que c’est pas mal. Sur le papier, je m’en rends moins compte, je vois moins bien ce que vaut mon travail. Là, c’est plus net. » (Loeiz)

 

     6▶ Le regard expert

« Ce que j’ai préféré, c’est la poésie, écrire de la poésie. Créer des liens entre les sensations, les impressions, les pensées – comme Baudelaire –. C’était du travail mais c’était comme dans un rêve aussi. J’avais l’impression d’écrire des rêves. » (Sabrina)

« Ce que j’ai aimé, ce sont les romans-photos. On s’amuse à les faire en groupes et le résultat avec les photos légendées est beau. On se retrouve complètement dans le livre qu’on a étudié. Quand je fais le roman-photo, je deviens le personnage, c’est grisant, moi j’y crois ! Sinon, quand je prends les photos – je fais le cadrage –, je prends la place de l’auteur : je refais le roman, mais en photos. » (Guillaume)  

 

     7▶ Le plaisir de se (re-)lire

« Voir mon travail publié sur fictif, c’est très satisfaisant. C’est vrai. C’est plus qu’un devoir à rendre. Même des mois après, j’y retourne, c’est mon travail, il est là : ça me fait plaisir. » (Gauthier)

« Ce qui est bien, c’est que mes écrits ne disparaissent pas, ils sont sur fictif, je peux les retrouver. C’est valorisant de les revoir tels que je les ai faits. » (Mehdi)

 

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