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Publié par Garance & Maëlys K. ROMAN-PHOTO EMMANUEL CARRÈRE, L’ADVERSAIRE – SCÈNE 10
Lire la suitePublié par Sofiane Étonnants voyageurs ! quelles nobles histoires Nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers ! Montrez-nous les écrins de vos riches mémoires, Ces bijoux merveilleux, faits d’astres et d’éthers. Nous voulons voyager sans vapeur...
Lire la suitePublié par Mariame, Larry’s, Moinahalima ROMAN-PHOTO EMMANUEL CARRÈRE, L’ADVERSAIRE – SCÈNE 3
Lire la suitePublié par Olivia, Margaux ROMAN-PHOTO EMMANUEL CARRÈRE, L’ADVERSAIRE – SCÈNE 2 Avec la participation de Lilou, Nora, Cyrielle et Manon.
Lire la suitePublié par Lou-Ann, Mathilde, Enora ROMAN-PHOTO EMMANUEL CARRÈRE, L’ADVERSAIRE – SCÈNE 1
Lire la suitePublié par Maëlan, Enora, Angelina ROMAN-PHOTO EMMANUEL CARRÈRE, L’ADVERSAIRE – SCÈNE 7
Lire la suitePublié par Mohamed, Marvynn, Chahine ROMAN-PHOTO EMMANUEL CARRÈRE, L'ADVERSAIRE-SCÈNE 5
Lire la suitePublié par Frahaza Mort réelle et constante À la lumière. je constatai ton irréalité. elle émettait des monstres. et de l'absence. L'aiguille de ta montre continuait à bouger. dans ta perte du temps je me trouvais tout entier inclus. C'était le dernier...
Lire la suitePublié par Lény Sous les ifs noirs qui les abritent, Les hiboux se tiennent rangés, Ainsi que des dieux étrangers, Dardant leur œil rouge. Ils méditent. Sans remuer ils se tiendront Jusqu’à l’heure mélancolique Où, poussant le soleil oblique, Les ténèbres...
Lire la suitePublié par Enora On trouvait de quoi rire tous les deux quand pas les mots. Mon père et moi d'un rien la coiffure d'une speakerine le chant d'un âne au loin. Ensemble autour de la table ou sous le ciel changeant, près des portes béates. Longtemps après...
Lire la suitePublié par Adèle Envoi S'attacher à la mort comme telle, y reconnaître l'avidité d'un réel, c’était avouer qu'il est dans la langue, et dans toutes ses constructions, quelque chose dont je n'étais plus responsable. Or, c'est là ce que personne ne supporte...
Lire la suitePublié par Manon P. J'eus une idée qui parut lumineuse à ma naïveté : au cours de déambulations à travers l'entreprise, j'avais remarqué que chaque pièce comportait de nombreux calendriers qui n'étaient presque jamais à jour, soit que le petit cadre rouge...
Lire la suitePublié par Artus Un drap blanc, pas un ciel déchiré. Les oiseaux tous que j'aime arrêtés. La chambre pleine de mouchoirs coton, papier. Pas un arbre plus dur. Regards qui se posent et qui fuient. Valérie Rouzeau, Pas revoir (1999) Source : Le grand livre...
Lire la suitePublié par Violette Rue des Tournelles. J'admire la Boucherie du Génie. D'un peu plus loin montent par rafales comme des accents de tango. Et à mesure que j'avance au milieu de la chaussée déserte, en effet ce vieux rythme opiniâtre et la mélodie se font...
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