Publié par Tahamida
Insomnie, es-tu l’âne en peine
De Buridan – ou le phalène
De l’enfer? – Ton baiser de feu
Laisse un goût froidi de fer rouge…
Oh! viens te poser dans mon bouge!…
Nous dormirons ensemble un peu.
Avec ce simple poème, on veut te dire merci
Mélodies de tes paroles qui – nos douleurs – savent soigner
Inculque-nous ce « plus tard » aux lueurs éthérées
Montrons au monde la belle personne que l'on sait
Aligne l’imaginaire et le vrai du plus charmant des traits
Gravons ton blase dans nos cœur et nos idées
Insérons dans nos tristesses des instants-étoiles
Nimbe le soir d'astres, chante soleil et pluie
Allume des étoiles là où sombre est la nuit
Imparfait fut ce temps où tu n'étais aussi
Tu ris quand d'autres pleurent
Pourtant mon Ami tu endures aussi
J'aurai tant aimé te dire, à toi
À l’ombre qui me donne le sourire :
« Ami tu resteras »
Même si tu ne le sais pas
Or je le sais, tu n'existes pas