Publié par Lou-Ann
Il est là tout près, je le sens, je le vois
Il vivait : on l’appelait le sans foi ni loi
Dure était sa vie, il l’aimait grâce au repos
Maintenant sous la terre, il est fantôme sans os
Il hante des dates, comme le quatorze juillet
Il nourrit mon cœur, par son amour ressource
Outre ses bêtises d’enfant, il était parfait
Aujourd’hui dans les nuages, il est ma grande ours.