Publié par Océane et Agathe
Et dont l’unique soin était d’approfondir
Le secret douloureux qui me faisait languir
C'est sous un soleil plein
Que je me réveille chaque matin
Contemplant les silhouettes des palmiers
Dans un quotidien auquel je ne peux m'intégrer
Perdu dans l'océan des rêves
Je me noie dans mes mensonges
Un passé rejaillissant sans trêve
Clandestin dans ces milliers de songes
Pressé par une ruée de remords
Dans la gorge, ne me reste qu'un gout âcre
C'est seulement sur mon lit de mort
Que j'avouerai ce simulacre