Publié par Clara R., Enora K. et Elsaïd
C’est dimanche. Marie réveille Meursault en le secouant. Marie se moque même de lui en lui disant qu’il a une tête d’enterrement. En descendant, ils frappent à la porte de Raymond. Marie est heureuse car il fait beau, elle se moque de Raymond car il porte un canotier. Ils partent à la plage, mais tout d’un coup Raymond fait signe à Marie de regarder en face car un groupe d’Arabes, adossé à la devanture du bureau de tabac, les regarde en silence. Marie ne comprend pas pourquoi ils les regardent. Raymond lui explique que c’est un groupe d’Arabes qui lui en veut. Elle veut partir. Ils se dirigent vers l’arrêt un peu plus loin. Ils descendent dans la banlieue d’Alger où Raymond leur présente son ami Masson, qui ne vient que le samedi, le dimanche, ou pendant ses jours de congés. Ils vont se baigner.
Tout se passe pour le mieux au petit matin sur la plage, il en va autrement l’après-midi, après le déjeuner… Lorsque qu’une bagarre éclate entre des hommes, difficile de les stopper. Entre les coups de poing, les coups de couteaux et les menaces, rien ne va. Mais pour quelles raisons se battent-ils ? En subiront-ils les conséquences ? Se connaissaient-ils avant la bagarre ?
Le personnage central est ici Raymond. Il s’est disputé avec un Arabe. Raymond et son ami marchent longtemps sur la plage. Ils arrivent à une petite source et trouvent les Arabes qui ont l’air calme et content. L’Arabe qui avait frappé Raymond le regarde sans rien dire. L’autre ne pipe mot et le regarde du coin de l’œil.
Raymond veut soudain tirer sur son adversaire mais il n’a pas de raison de tirer sur lui. Pour avoir un bon motif d’agir, il dit à Meursault qu’il insultera l’Arabe pour pouvoir le tuer. Meursault prend le revolver et l’accompagne à son cabanon.
Meursault retourne ensuite seul sur la plage et retrouve l’Arabe. Il tire une fois car il a chaud et le soleil dans les yeux ! Il tire encore quatre fois sur le corps inerte où les balles s’enfoncent. Est-ce que Meursault a voulu tout ça ?
« J’ai compris que j’avais détruit l’équilibre du jour ».