Publié par Badroudine
Je m’avance à l’attaque, et je grimpe aux assauts,
Comme après un cadavre un chœur de vermisseaux
De mon épée sacrée je suis prêt à charger
Tous ces corps appartenant à ces vils barbares
Leurs cœurs je vais transpercer sans aucune pitié
Ma haine nourrie de sang devient une mare
Aujourd'hui nous avons perdu bien des assauts
Notre défaite marquera notre âme au fer rouge
Feu d'artifices, canons, sont pour moi si beaux !
A l'intérieur de nous, seule la rage bouge