Publié par Tiago

L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes,
Projette l’illimité,
Approfondit le temps, creuse la volupté,
Et de plaisirs noirs et mornes
Remplit l’âme au-delà de sa capacité.

"Le poison", Les fleurs du mal, Baudelaire

Le désir affecté

Cela fait des jours que je pense toujours à toi

Tu es comme ma drogue que je prends chaque mois

Chaque instant j'évoque mon amour pour toi

Comme cette cocaïne que je sniffe dix fois

 

On répète que l'alcool change un homme sage

C'est comme ton amour qui me fait tout changer

L'alcool est blanc mais rougit ton beau visage

Comme ta beauté qui trouble mes belles idées

Tag(s) : #fleurs du mal
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