Publié par Jeanne
Ô la femme à l'amour câlin et réchauffant,
Douce, pensive et brune, et jamais étonnée,
Et qui parfois vous baise au front, comme un enfant !
Ô beauté, ton visage hante mes pensées
Je voudrais tellement pouvoir te serrer fort
J’attends – je n’attendrai que toi jusqu’à ma mort ! –
Tes mains sur mon corps me feront toujours rêver
Pouvoir sentir ta chaleur sur moi me rend fou
Le plaisir prochain (Oh…) sera inoubliable
J’emmène – j’emmènerai ton ombre – partout !
Tous ces moments passés seront inaltérables