Publié par Maxime

La pulsion de mort bolsonarienne guidée par la main vorace du Capital

La pulsion de mort bolsonarienne guidée par la main vorace du Capital

C'est d'une simplicité déconcertante : leur seul souhait est de récupérer leurs terres. C'est la honte qui s’abat sur Jair Bolsonaro et son gouvernement d'hypocrites et de pressureurs sans aucun état d'âme. Chaque année, Jair Bolsonaro et ses larrons dérobent, non seulement à l'Amazonie, mais aussi au reste du monde, 10 000 km2 de forêt, l'équivalent d'un département comme la Gironde.

Bolsonaro est le cancer de l'Amazonie, il est comme le cigare fumant qui encrasse les poumons de notre Terre. En menaçant cette oasis verte, ce truand menace aussi les peuples indigènes vivant sur ces terres en communion avec la nature depuis des milliers d'années, avant même l'arrivée des premiers colons. Ce dictateur mène une politique d'assimilation des peuples indigènes, et par la plus grande des lâchetés fait vivre ses opposants politiques dans la crainte de ne plus jamais s’endormir tranquilles dans les bras de Morphée, ou d'être emprisonnés.

Ce tyran joue avec la Constitution qu'il est censé lui-même faire respecter. Un homme atteint d'un tel état d'hébétude ne peut pas se revendiquer président, c'est un monstre qui a pour seul credo le profit. Il force ces âmes si pures et si sages, que sont les indigènes, à courber l'échine devant la toute puissance financière. Au final, Bolsonaro ne peut même pas se revendiquer homme.

Aujourd'hui, l'Amazonie est un barbecue à ciel ouvert où l'on fait griller la forêt, les droits des indigènes, mais le profit – lui – flambe. Mais, cher lecteur, que fais-tu toi, quelle démarche engages-tu ? Vas-tu laisser ce sauvage continuer ses ravages ? Car dans une dizaine d'années, tout le monde se rendra compte des bêtises de ce sot mortifère, et il sera déjà trop tard ! L'air frais et pur auquel nous aspirons, tout cela ne sera plus qu'un nuage de fumée noir et âcre, et c'est à ce moment précis que nous nous dirons qu'il aurait fallu mettre ce rebut de l’humanité derrière les barreaux. À cet instant, nous serons tous coupables de la disparition de notre belle forêt et nous sommes dès aujourd'hui coupables des prémices de cette catastrophe.

Ce tueur vénal transformera la Terre en un abîme pour les générations prochaines, en particulier la nôtre, car c'est devenu notre combat. Nous devons nous confronter à ce démon, pas seulement pour nous donner bonne conscience, mais pour que nous puissions, nous et nos enfants, vivre sur une Terre en bonne santé, afin qu'elle ne ressemble pas aux poumons d'un fumeur de tabac.

94% de la déforestation au Brésil est illégale. Le Brésil est certes le pays qui a le plus de lois environnementales, mais c’est aussi celui qui les respecte le moins. Cet homme d'affaire que le Brésil a élu nous promet de stopper ces actions illégales, mais fait voter des lois qui vont renforcer l'absence actuelle de surveillance, et de sanctions, contre les crimes environnementaux.

Ses paroles fallacieuses ne sont qu'un écran de fumée qui cache son amour vicieux pour ce produit mellifluent, sapide et polygène* qu'est l'argent, gavant l'avidité de tous ses amis fourbes et belliqueux. Nous avons encore le pouvoir d'arracher des mains de ces menteurs l'Amazonie, et de sauver notre planète pour les générations à venir. Nous ne devons pas laisser ces vipères brûler et couper notre belle forêt au nom de l'argent. Nous devons les en expulser au nom de la Vie.

* Citation de Raymond Queneau, Zazie dans le métro.

En orange, les zones de déforestation en 2019

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