Publié par Damien
Sur l'air populaire
« Quand le bonhomm' revint du bois »
Quand ce jeune homm’ rentra chez lui,
Quand ce jeune homm’ rentra chez lui ;
Il prit à deux mains son vieux crâne,
Qui de science était un puits !
Crâne,
Riche crâne,
Entends-tu la Folie qui plane ?
Et qui demande le cordon
Un homme en désespoir arrive
Il sent une nouvelle âme affective
Cette âme belle dans cette pièce sombre
Il ne voit pas son corps dans la pénombre
Mais ressent quelque chose de si spécial
Il entend des chants comme une chorale
Parler à cette âme en vie, et perdue
Des voix d’enfants chantant sont apparues
L’homme ne comprend rien, essayant d’entendre
Il a peur que cette vie tombe en cendres
Et veut la sauver d’une mort précoce
Car le corps mort est en fait… un gosse
Quoi qu’il en coûte, cet enfant doit vivre
Et le croque-mort doit au plus vite agir
Or il est déjà bien trop tard pour lui
L’enfant depuis longtemps s’est enfui
L’homme désespéré a échoué
Il n’a plus que des remords encloués
Et vit quelque chose d’horrible : une chute
Dans ce monde blessant les yeux, sans but