Publié par Zoé S.
La douleur des adieux © Zoé S.
Dans l'ombre, mon chagrin repose,
Mes larmes coulent comme une pluie amère,
Mes tourments s'entrelacent sans pause,
De ces souvenirs naît une tristesse éphémère.
Dans le silence des adieux, une empreinte reste,
Les gens s'en vont mais leur mémoire persiste,
Comme une légère brise, douce et discrète,
Leur départ résonne comme une mélodie triste.
Les souvenirs se tissent comme des fils d'or,
Chaque rire, chaque regard, gravés dans le décor,
S'éloignent, mais la façon dont ils s'en sont allés
Existe – là – qui jamais ne sera effacée.
Les pas s'estompent mais une trace demeure,
Douce mélancolie qui pleure ;
Au fil du temps les plaies se déplacent
Mais la douleur de l’apparition demeure en surface.