Publié par Tristan

Pourtant, j'étais fort mauvais poète.
Je ne savais pas aller jusqu'au bout.
J'avais faim
Et tous les jours et toutes les femmes dans les cafés et tous les verres
J'aurais voulu les boire et les casser
Et toutes les vitrines et toutes les rues
Et toutes les maisons et toutes les vies.

Blaise Cendrars, La Prose du Transsibérien (1913)

L’appel du large © Tristan

 

Au bord de la mer, l'aventure m'appelle,
Les flots azurés m'enveloppent de leur éclat,
Le sable doré sous mes pieds étincelle,
Je me lance, intrépide, vers l'infini, au-delà.

Les vagues s'élèvent, majestueuses et puissantes,
Comme des montagnes liquides, elles se dressent,
Je les défie, audacieux, sans crainte ni méfiance,
Sur mon navire, je suis le maître de l'ivresse.

Les mouettes m'accompagnent, messagères du vent,
Leur chant mélodieux guide mes pas errants,
Je découvre des îles, des trésors éblouissants,
L'aventure au bord de la mer est mon enchantement.

Les couchers de soleil embrasent l'horizon,
Les étoiles scintillent, témoins de ma passion,
Je suis un marin, un explorateur sans frontière,
Au bord de la mer, je trouve ma véritable lumière.

Que l'aventure soit votre compagne fidèle,
Au bord de la mer, laissez-vous emporter,
Dans les mystères océaniques, vivez l'émerveillement,
Et que chaque instant soit une éternité à savourer.

 

Tag(s) : #blaise cendrars, #1G2
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