Publié par Nathan

© Nathan

© Nathan

Le blob, créature des éternelles cures,

Monstre des plus grosses armures, 

Résiste aux températures rudes les plus dures.

De ses amis, l’axolotl, lui,

Loin des cités éclairées, et près des marais,

Peu populaire, et frigorifié,

Supporte peu les surfaces exposées. 

Un jour, ainsi visite son ami l’axolotl

Et lui raconte alors son anecdote : 

« Oh ! Monsieur Blob ! Chaud est notre air, brûlant est le sol et mal l’axolotl ! » 

L’autre lui répond : 

« Oh ! Lourde nouvelle ! L’épaisseur de l’air m’effleure le derrière. Laisse-moi te conter : les oiseaux tombent, les couteaux se déplantent, et moi je te les plante ! Le Projecteur désormais te hante ! » 

L’avide lumière, les feux du Projecteur, transpercent l’atmosphère, l’air et son derrière. Mais à peine sorti de l’eau, le pauvre axolotl perd sa peau.

« Manque de bol ! » s’exclame le blob.  

Espèce d’amoebozoa de bizarrerie sans nom ni plafond, le blob fait preuve de plus d’invention. 

Parmi tant d’exemples, il serait judicieux de citer son organisation interconnectée riche à l'envi : des routes vouées au gigantisme, percées dans le ciel, les plus rapides et invisibles ; des voies légères, empruntes d’obstacles, où riment la guerre, ou le fabuliste ou l’auditeur.

Alors parmi tant d’exemples, le blob ne sut quoi prendre. Il fit son choix sans anonymat : le fabuliste à morale inversée, et avec fierté ! 

Le blob affirme ainsi : « Tant que je suis invincible, je suis invisible ! »

 

Tag(s) : #comique, #polémique, #1G4
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :