Publié par Enola
v.1 : Le Soleil, le foyer de tendresse et de vie,
v.2 : Verse l’amour brûlant à la terre ravie. […]
v.4 : Que la terre est nubile et déborde de sang. […]
v.100 : Au front de Zeus ; ses yeux sont fermés ; elle meurt. […]
v.21 : Répondre à son appel la Nature vivante. […]
v.22 : Où, les arbres muets, berçant l’oiseau qui chante. […]
L’Enfer et le Paradis © Enola
Les flammes de l’enfer
Dansent librement brûlant les esprits perdus
Ô regrets éternels
Les âmes égarées sont prisonnières
De l’endroit maudit dans le feu ardent
L’enfer peu à peu les consume
Les souffrances déchirantes
– Quel désespoir sans nom ! –
Règnent au lieu diabolique
Alors qu’au lieu angélique
Les âmes sont apaisées
Dans le jardin magnifique
Les lumières et les fleurs dispensent
Les satisfactions éternelles
Les âmes réunifiées meurent libres
Au lieu harmonieux vibre
La tranquillité du paradis
Réconforte les esprits désormais sereins