Publié par Thimothé
Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone ;
Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers et des fruits savoureux
[...]
Pendant que le parfum des verts tamariniers,
Qui circule dans l'air et m'enfle la narine [...]
Plage de rêve
Posé sur les plages du paradis
J'admire le beau coucher de soleil
Allongé, proche du profond sommeil
Croyant entendre l'odeur des iris
Et maintenant rêvant du grand bonheur
Comme si il s'en était pris à moi
Je suis heureux et joyeux et me vois
Mangeant, fruits d'une excellente saveur
Ô je touche le goût d'un grand plaisir
Non pas comme des athlètes à courir
Loin d'une vie de bohème à Paris
Mais sur la plage fumant mon houka
Je respire cet air pur, je ris de
Ce malheur qui toujours m'inspirera.