/image%2F3592532%2F20190825%2Fob_1e0de6_tete-planete-espace-celia-voisin.jpg)
- Ô douleur ! ô douleur ! Le temps mange la vie, Et l’obscur Ennemi qui nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie ! Publié par Jeanne et Lindsay Me voilà enfin arrivé à l’âge mûr Comme je regrette de ne pas avoir profité Je suis...
Lire la suite
Publié par Noémie Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes Du rêve au cauchemar Dans mon lit, au crépuscule Et voilà que tout bascule Rêve si clair devient éclair Une immersion dans le tonnerre Un souvenir du monde réel Ces images si belles Un...
Lire la suite
Publié par Mehdi et Nolan L'Art est long et le Temps est court Photomontage par Mehdi Moi qui aime mon Art en m’inspirant des aînés Celui qui suscite tant le bien que le mal Tant le bonheur, la douleur, qu'amour et dégoût Cet Art au service des émotions...
Lire la suite
Publié par Louise, Tahamida & Elsy Derrière les ennuis et les sombres chagrins Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse, Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse S’élancer vers les champs lumineux et sereins Il naît sous le soleil Dans un blanc...
Lire la suite
Publié par Réjane et Maïwenn Il te faut, pour gagner ton pain de chaque soir, Comme un enfant de chœur, jouer de l’encensoir, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guères, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas Et ton rire trempé de pleurs qu’on...
Lire la suite
Publié par Ambre, Rachel et Juliane - Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie, Et l’obscur Ennemi qui nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie ! Ô ma mélancolie, lent poison pernicieux Qui envahit mon sang et submerge mon...
Lire la suite
Publié par Mathys et Géram Mon âme est un tombeau que, mauvais cénobite, Depuis l’éternité je parcours et j’habite ; Rien n’embellit les murs de ce cloître odieux. Mort de l'intérieur, versant des larmes Je noie mes soucis, ô plein de chagrin Les péchés...
Lire la suite
Publié par Nolwenn Cybèle, qui les aime, augmente ses verdures, Fait couler le rocher et fleurir le désert Devant ces voyageurs, pour lesquels est ouvert L'empire familier des ténèbres futures. Paysage étonnant Abandonnée, solitaire, inconnue Cité perdue...
Lire la suite
Publier par Kennocha et Blandine La tribu prophétique aux prunelles ardentes Hier s’est mise en route, emportant ses petits Sur son dos, ou livrant à leurs fiers appétits Le trésor toujours prêt des mamelles pendantes. Une Nature à croquer Sentez vous...
Lire la suite
Publié par Anouck et Apolline Pourtant, sous la tutelle invisible d’un Ange, L’Enfant déshérité s’enivre de soleil, Et dans tout ce qu’il boit et dans tout ce qu’il mange Retrouve l’ambroisie et le nectar vermeil. Enfant seul et malheureux Enfance malheureuse...
Lire la suite
Publié par Max et Lenny La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Image tirée du livre "Le vieil homme et la mer", d'Ernest Hemingway Le pêcheur et la mer L’homme têtu, semblable à une mer agitée Toise l’écume, sale comme un cendrier Mais il n’y prête...
Lire la suite
Publié par Clément et Raphaël C. Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Enfance qui ne s’est pas passée comme j’aurais voulu Enfance qui passa comme la foudre tomba et roula trop vite Enfance...
Lire la suite
Publié par Diego et Guillaume J’ai longtemps habité sous de vastes portiques Que les soleils marins teignaient de mille feux [...] C’est là que j’ai vécu dans les voluptés calmes, Au milieu de l’azur, des vagues, des splendeurs Et des esclaves nus, tout...
Lire la suite
Publié par Salim et Tom — Mon âme est un tombeau que, mauvais cénobite, Depuis l’éternité je parcours et j’habite ; Rien n’embellit les murs de ce cloître odieux. La balance du Jugement Dernier Depuis mon enfance ma vie est une misère Heureusement la...
Lire la suite
Publié par Océane et Agathe Et dont l’unique soin était d’approfondir Le secret douloureux qui me faisait languir C'est sous un soleil plein Que je me réveille chaque matin Contemplant les silhouettes des palmiers Dans un quotidien auquel je ne peux m'intégrer...
Lire la suite
Publié par Malik, Romane et Ali Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants Les parfums, les couleurs et les sons se répondent / En photo : Hossegor...
Lire la suite
Publié par Paul et Samuel Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poëte un amour Eternel et muet ainsi que la matière. La tristesse Je réveille les gens par la pluie...
Lire la suite
Publié par Brendan et Damien Ma pauvre muse, hélas ! qu’as-tu donc ce matin ? Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes, Et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint La folie et l’horreur, froides et taciturnes. Prince déchu Horreur Nocturne...
Lire la suite
Publié par Tiago et Engueran Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. On se côtoie depuis des millénaires C'est notre...
Lire la suite
Publié par Badroudine et Gravidi Ces rois de l’azur [...] Ce voyageur ailé [...] Le Poëte est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer Les voies du grand Style : dandy de la sape, dandy de la poésie La comparaison du sapeur...
Lire la suite
Publié par Karine et Bira [...] semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer Le LION Souvent reconnu pour sa crinière dorée Un pelage si beau lui attire des fans Effraie tout ce qui essaye de l’approcher Prends garde au plus...
Lire la suite
Publié par Sabrina et Priscilla Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s’est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Éternel et muet ainsi que la matière. La Faucheuse Nymphe au regard sombre Je...
Lire la suite
Publié par Mélya et Youna Ah ! que n’ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Deux visages en un. Peinture de Nicole De Pauw On la croit...
Lire la suite
Publié par Yvon et Ewan Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. L'infini Ô Infini L'infini imaginaire ou bien réel L'infini...
Lire la suite
Publié par Yaël et Raphaël M. Et ton rire trempé de pleurs qu’on ne voit pas, Pour faire épanouir la rate du vulgaire Battu En marchant dans cet enfer où je vis Je les vois prêts à s’abattre sur moi Qui tiennent la ceinture de la loi Sous les coups, ne...
Lire la suite