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Publié par Malik Dans les caveaux d'insondable tristesse ou le Destin m'a déjà relégué Une sombre cave Pièce obscure où seule la tristesse La haine et la rancœur ont leur place Parfois même le dégoût y intervient Pourtant il semble si insouciant Au seul...
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Publié par Romain Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d'un monument construit en marbre noir Solitude Une fois tes yeux fermés Personne ne pourra t'aider Terré seul, sous un monument Et au-dessus de toi, pleurant Les mendiants, les chiens...
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Publié par Diego Ange plein de gaieté, connaissez-vous l’angoisse, La honte, les remords, les sanglots, les ennuis, Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits Qui compriment le cœur comme un papier qu’on froisse ? Je vis dans un rêve érotique dans...
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Publié par Agathe Je jalouse le sort des plus vils animaux Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide, Tant l’écheveau du temps lentement se dévide ! Perdu dans le brouhaha des machines Je cherche à départager rêve et réalité Je crie et en vain, je...
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Publié par Rachel Ainsi bijoux, meubles, métaux, dorure, S'adaptaient juste à sa rare beauté Beauté ancienne, parée de mille reflets Une silhouette aux courbes très sensuelles Joliment drapée d'une parure dorée Embellit cette créature solennelle Son collier...
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Publié par Jeanne Coeur brisé Tout de toi m’est plaisir, morbide ou pétulant Amour ne se transformera jamais en haine Amour orageux que je ne peux oublier Malgré tous les désastres qu’il a pu causer Ce lourd cauchemar est une étoile lointaine J’aurais...
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Publié par Yvon Ils célèbrent la Mort, vous chantez le Réveil ; Devant leur savoir, nous nous inclinons Sans pour autant comprendre ce que nous disent Ces personnes âgés. Oui vous, mesdames et messieurs, Qui nous bourrez le crâne avec vos leçons Pendant...
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Publié par François-Xavier Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure ! Ô boucles ! Ô parfum chargé de nonchaloir ! Extase ! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir...
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Publié par Clément De ces baisers puissants comme un dictame, De ces transports plus vifs que des rayons, Que reste-t-il ? C’est affreux, ô mon âme ! Rien qu’un dessin fort pâle, aux trois crayons, Qui, comme moi, meurt dans la solitude, Et que le Temps,...
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Publié par Gauthier — Ce gouffre, c’est l’enfer, de nos amis peuplé ! Roulons-y sans remords, amazone inhumaine, Afin d’éterniser l’ardeur de notre haine ! Tout cela n’est que superficiel Pensée sans remords dans mon bain Mes yeux regardant le ciel Comme...
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Publié par Sabrina Paysage d'Oran, Algérie Alors je rêverai des horizons bleuâtres Mon pays bien aimé Au ciel bleu et au sable doré Pays d'un peuple uni Face à son passé assombri Au paysage merveilleux Du centre-ville ou de la banlieue Ce pays où j'aurais...
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Publié par Mélya Où tout n’est qu’or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. Ce regard envoûtant mais destructeur Comme un très beau lion pourtant enragé On ne voit pas cela à toute...
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Publié par Priscilla Être maudit à qui de l’abîme profond, Jusqu’au plus haut du ciel rien, hors moi, ne répond ; — Ô toi qui, comme une ombre à la trace éphémère, Foules d’un pied léger et d’un regard serein Les stupides mortels qui t’ont jugée amère,...
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Publié par Louane Les glaives sont brisés ! comme notre jeunesse, Ma chère ! Mais les dents, les ongles acérés, Vengent bientôt l’épée et la dague traîtresse. Marie Stuart, âgée de treize ans en 1555 Femmes d’aujourd’hui, femmes d’avant Les plus grandes...
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Publié par Anouck Une personne peut avoir deux visages Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, Même quand elle marche on croirait qu'elle danse, Comme ces longs serpents que les jongleurs sacrés Au bout de leurs bâtons agitent en cadence. / Où tout n'est...
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Publié par Yoann et Romain La nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers Ô temple aux lianes entrelacées Aux robustes...
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Publié par Nolwenn Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne, Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Torrent intérieur Je t'écoute et je te crois Lorsque tu me racontes l'océan ravageur Saccages...
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Publié par Noémie Un air subtil, un dangereux parfum, Nagent autour de son corps brun. A chaque heure de la journée Je voyage dans mes pensées C'est une odeur permanente Qui m'ensorcelle et qui me hante Un vide en moi s'est installé Et seulement toi peux...
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Publié par Raphaël C. Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumières, Qu’un Ange très-savant a sans doute aimantés ; Ils marchent, ces divins frères qui sont mes frères, Secouant dans mes yeux leurs feux diamantés. Regard envoûtant Je suis mon chemin...
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Publié par Tiago L’opium agrandit ce qui n’a pas de bornes, Projette l’illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté, Et de plaisirs noirs et mornes Remplit l’âme au-delà de sa capacité. Cela fait des jours que je pense toujours à toi Tu es comme...
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Publié par Audrey Et je chéris, ô bête implacable et cruelle ! Jusqu'à cette froideur par où tu m'es plus belle ! Tu me fuis mais tu m'éblouis Ô démon scotché à mon cœur Tel un ouragan tu m'apeures Tué par ta sorcellerie Depuis que je t'ai rencontrée...
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Publié par Apolline Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Femme à la fenêtre face à la mer La Lionne enragée Toutes mes sensations se bousculent Ta peau est si belle On dirait un tableau...
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Publié par Lenny Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses Paris Ô Paris, je me souviens de toi, Nous y étions, il n'y a pas si longtemps, Il y a peut-être maintenant cinq ans, Ce temps où je ne voyais qu'elle. Je me rappelle encore de ces soirées...
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Publié par Nolan Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle, Femme impure ! L'ennui rend ton âme cruelle Toi à la beauté merveilleuse Tu aurais pu avoir tous les hommes pour toi Mais tu as choisi d'avoir une bonté hideuse Toute personne croisant ton...
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Publié Par Ewan Mais pourquoi pleure-t-elle ? Elle, beauté parfaite La beauté est la plus belle des richesses Confusément intérieure ou extérieure Très souvent comparée à une diablesse Derrière cette belle plastique se cache la peur Le beauté est-elle...
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