Publié par Frahaza Mort réelle et constante À la lumière. je constatai ton irréalité. elle émettait des monstres. et de l'absence. L'aiguille de ta montre continuait à bouger. dans ta perte du temps je me trouvais tout entier inclus. C'était le dernier...
Lire la suitejacques roubaud
Ceux qui restent
Publié par Adèle Envoi S'attacher à la mort comme telle, y reconnaître l'avidité d'un réel, c’était avouer qu'il est dans la langue, et dans toutes ses constructions, quelque chose dont je n'étais plus responsable. Or, c'est là ce que personne ne supporte...
Lire la suiteDeuil impossible
Publié par Marie Mort réelle et constante À la lumière. je constatai ton irréalité. elle émettait des monstres. et de l’absence. L’aiguille de ta montre continuait à bouger. dans ta perte du temps je me trouvais tout entier inclus. C’était le dernier...
Lire la suiteEn toi
Publié par Lisa « Morte » Devenue identique. Dire de toi : dire tout rien. Existante dans l'au-moins-deux, visible d'un état-des-choses, à chaque moment enfin nommée, renommée, belle, telle : mais plus. Je ne te nomme plus que comme incolore. Sans le...
Lire la suiteSA mort, MA vie
Publié par Nolwenn « Mort » Ta mort parle vrai, ta mort parlera toujours vrai. ce que parle ta mort est vrai parcequ'elle parle. certains ont pensé que la mort parlait vrai parceque la mort est vraie. d'autres que la mort ne pouvait parler vrai parceque...
Lire la suiteLa nuit du deuil
Publié par Mina Je voulais détourner son regard à jamais. je voulais être seul au monde à ne pas avoir vu du tout. cette main aurait pu ne pas être là, après tout : mais moi non plus, et avec moi disparaître le monde. ce cadeau. l'image de ta mort. Elle...
Lire la suiteJe voulais faire taire mes pensées
Publié par Thomas V.-P. Je voulais détourner son regard à jamais. je voulais être seul au monde à ne pas avoir vu du tout. cette main aurait pu ne pas être là, après tout : mais moi non plus, et avec moi disparaître le monde. ce cadeau. l'image de ta...
Lire la suiteIndividu disparu
Publié par Jolan Ta mort ne cesse de s'accomplir de s'achever Pas simplement ta mort. morte tu l'es. il n'y a pas à en dire. et quoi? inutile Inutile l'irréel du passé temps inqualifiable. Mais ta mort en moi progresse lente incompréhensiblement. Je me...
Lire la suiteBalancement
Publié par Annaëlle Battement de la mer eau en mouvement eau errante. débris. thyms. Orties. contre le temps j’allais à ton odeur. je m’allongeais sur ta ruine. Je dormais devant ton corps. Temps en retour ré volu maintenant. rose Photographique soufflée....
Lire la suiteVivre avec la mort ?
Publié par Argan A la lumière. je constatai ton irréalité. elle émettait des monstres. et de l'absence. L'aiguille de ta montre continuait à bouger. dans ta perte du temps je me trouvais tout entier inclus. C'était le dernier moment où nous serions seuls....
Lire la suiteRevivre
Publié par Camille « Cette photographie, ta dernière, je l’ai laissée sur le mur, où tu l’avais mise, entre les deux fenêtres, Et le soir, recevant la lumière, je m’assieds, sur cette chaise, toujours la même, la regarder, où tu l’as posée, entre les...
Lire la suiteJ'excelle à devenir celle que je déteste
Publié par Louna « À la lumière. je constatais ton irréalité. elle émettait des monstres. et de l'absence. » (vers1) « C'était le dernier moment où nous serions seuls. » (v.3) « C'était le dernier moment où nous serions. » (v.4) « J'étais entré dans une...
Lire la suiteInacceptable
Publié par Youenn Je peux affronter ton image Je peux réellement affronter ton image, ta "semblance" comme on disait autrefois. Difficilement mais je le peux. Dispersée entre les lumières, tes ombres. Comptée de lieu en lieu : murs, tiroirs, ce livre...
Lire la suiteÀ toi
Publié par Tabatha « Je peux réellement affronter ton image, ta « semblance », comme on disait autrefois, difficilement mais je le peux. Dispersées entre les lumières, tes ombres. Compté de lieu en lieu : murs, tiroirs, ce livre : Tes lettres. Ton écriture,...
Lire la suiteInsensé
Publié par Nathan « Tu n’habites pas ces pièces, je ne pourrais dire cela, je ne suis pas hanté de toi, je n’ai plus, maintenant, que rarement l’hallucination nocturne de ta voix, je ne te surprends pas en ouvrant la porte, ni les yeux. Cela qui m’occupe,...
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