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Publié par Loane et Anaël THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 4
Lire la suitePublié par Loane et Anaël THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 4
Lire la suitePublié par Hugo et Titouan THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 9
Lire la suitePublié par Killian et Kaïs THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 6
Lire la suitePublié par Maëva, Manon, Cécile THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – INTERMEDE, SCÈNE 4
Lire la suitePublié par Chloé L., Kiara, Chloé C. THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 1
Lire la suitePublié par Manon, Deva THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – INTERMÈDE, SCÈNE 3
Lire la suitePublié par Zoé M., Eloann, Lizenn THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 4
Lire la suitePublié par Antoine v.1 On n'est pas sérieux, qu'on a dix-sept ans. v.2 - Un beau soir, foin des bocks [...] v.15 On divague ; on se sent aux lèvres un baiser v.16 Qui palpite là, comme une petite bête... v.26 Vous êtes amoureux - Vos sonnets La font rire....
Lire la suitePublié par Ewen & Ozvane THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE II, SCÈNE 2
Lire la suitePublié par Eloan juste être femme me nommer femme me rend totalement complète pleine et entière. ne me dites pas que mes femmes ne sont pas aussi belles que celles de votre pays. désormais je dirai des choses comme vous êtes résilientes ou vous êtes extraordinaire...
Lire la suitePublié par Antoine Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous. Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux. J'arrive tout couvert...
Lire la suitePublié par Lizenn L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir : il faut alors la tenir au creux d'un torchon,...
Lire la suitePublié par Déva Le garçon cramoisi à crever a disparu Sa place est vide son gobelet en carton de fast-food Envolé plus de sébile devant le market Je m’arrête là où il avait les yeux bleus Tellement bleus ça n’allait pas du tout Cet azur avec son teint...
Lire la suitePublié par Anaël L'arbre noir magnifique givré toutes ses feuilles envolées pourries depuis le temps qu'il reste là poteau dans la nuit d'hiver longue où je m'appuie me plante aussi Il vibre d'hier à aujourd'hui il vibrera - Aussi longtemps que je vivra...
Lire la suitePublié par Maëli Dans l'herbe noire Les Kobolds vont. Le vent profond Pleure, on veut croire. Quoi donc se sent ? L'avoine siffle. Un buisson gifle L'œil au passant. Plutôt des bouges Que des maisons. Quels horizons De forges rouges ! On sent donc quoi...
Lire la suitePublié par Anthony P. Midi jamais vu à ma porte Midi sonne et les enfants crient Ça passe partout toutes les fenêtres Même fermées à vitrage doublé Les cris des enfants à la récré Ça couvre un toit autant qu’ardoises Ça couvre même TSF Jazz Et grimpe...
Lire la suitePublié par Olivia O triste, triste était mon âme A cause, à cause d'une femme Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s'en soit allé, Bien que mon cœur, bien que mon âme Eussent fui loin de cette femme. Je ne me suis pas consolé, Bien que mon cœur...
Lire la suitePublié par Enola ne cherche pas la guérison aux pieds de ceux qui t’ont brisée Rupi Kaur, Lait et miel (2014) Les traîtres © Enola Dans le divertissement de l’amour, la trahison s’invite Les promesses envolées, les souvenirs sous scellés Les mots trahissent,...
Lire la suitePublié par Enola, Zoé, Louna THÉÂTRE-PHOTO JEAN-LUC LAGARCE, JUSTE LA FIN DU MONDE – PARTIE I, SCÈNE 2
Lire la suitePublié par Quentin Tout l’automne à la fin n'est plus qu’une tisane froide. Les feuilles mortes de toutes essences macèrent dans la pluie. Pas de fermentation, de création d'alcool ; il faut attendre jusqu'au printemps l’effet d’une application de compresses...
Lire la suitePublié par Zoé M. tu n’étais peut-être pas mon premier amour mais tu étais l’amour qui a rendu toutes les autres amours insignifiantes Rupi Kaur, Lait et miel (2014) Jasmine et Aladin représentent le premier amour © Zoé M. Premier Amour Dans la douceur...
Lire la suitePublié par Killian En ce temps-là j’étais en mon adolescence J’avais à peine seize ans et je ne me souvenais déjà plus de ma naissance J’étais à Moscou, où je voulais me nourrir de flammes Et je n’avais pas assez des tours et des gares que constellaient...
Lire la suitePublié par Zoé P. Vers les prés le vent cherche noise Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d'ardoise, Vers les prés clairs, les prés sans fin... Comme les arbres des féeries, Des frênes, vagues frondaisons,...
Lire la suitePublié par Hugo Le monde change tout le temps sans moi Et je me rends inadaptable N'ai pas téléphone à table Plutôt je ne me rends pas du tout Je souris sans preuve sur selfie Si nous cultivions l'amitié qui sait ce qu'on récolterait On pourrait tenter...
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